L’apprentissage de l’image de synthèse 3D se fait de façon progressive. Les candidats seront accompagnés tout au long de la première année.
L’apprentissage de l’image de synthèse 3D se fait de façon progressive. Les candidats seront accompagnés tout au long de la première année.
Non, les places sont limitées et les meilleurs dossiers seront choisis.
Oui, si votre dossier n’est pas accepté pour votre 1er choix au premier tour, il sera évalué par la suite selon votre 2e choix.
Non, sauf exceptionnellement dans le cas de dossiers qui dépassent les attentes du cours en question.
Non, sauf exceptionnellement dans le cas de dossiers qui dépassent les attentes du cours en question.
Non, étant donné les places limitées du programme en art et science de l’animation, il n’est pas possible de conclure de telles ententes avec les cégeps. Les étudiants qui envisagent de faire des études universitaires devraient se diriger vers les DEC pré-universitaires.
Certains cours du cheminement du certificat (CASA) pourront être crédités au baccalauréat (BASA) dans la liste des cours optionnels.
Oui, si vos demandes de changement sont soutenues par des arguments sérieux, il est possible de faire des ententes avec la direction de programme afin de personnaliser votre cheminement. Vous devez faire la demande à la direction de programme avant de vous inscrire à des cours hors programme.
Oui, vous pouvez suivre des cours, pendant une session à l'École supérieure de l'image de Poitiers (France).
Non, les trousses de logiciels ne seront installées que sur une machine avec un système d’exploitation Windows.
Oui, les frais de laboratoire vous donnent accès à la classe-laboratoire où la majorité des cours sont offerts.
Le DEC en graphisme met l’accent sur des compétences techniques qui permettent à l’étudiant d’intégrer le marché du travail en appui aux designers (concepteurs), dans la phase de production d’un projet. Le programme de baccalauréat forme des créateurs qui seront à l’origine des concepts visuels répondant à des objectifs de communication qu’ils auront préalablement établis.
Très rares sont les domaines où les postes à combler sont criants. Mais, pour la personne qui possède un minimum de talent et qui sait faire preuve de détermination, tout un monde s’offre à elle, car le domaine du design graphique offre plusieurs avenues. D’abord, il y a la possibilité de travailler comme salarié pour le compte de studios de design, d’agences de publicité, d’organismes publics ou parapublics ou comme designer attitré au sein d’entreprises privées. De plus, il est possible d’agir en tant que travailleur autonome soit à la pige ou, en démarrant sa propre entreprise de consultant. Les domaines d’application sont aussi très vastes : l’édition (livres, magazines, etc.), le Web, l’identité visuelle de marque (ou le branding), la publicité, la signalétique et plus encore.
Notre programme offre un volet spécialisé en illustration. Plusieurs de nos anciens étudiants sont devenus des illustrateurs professionnels. En photographie, nous offrons une gamme très riche de cours qui permettra à un étudiant de développer des connaissances et des aptitudes qui seront un atout majeur dans sa pratique en tant que designer graphique ou qu’il pourra approfondir par la suite pour en faire une carrière professionnelle comme photographe.
Si votre ordinateur est de marque Apple et qu’il satisfait aux exigences techniques du programme, vous pourrez le conserver après avoir obtenu l’approbation de notre équipe technique.
Cela varie beaucoup d’un endroit à un autre : en agence, entre 12 et 18$/heure environ; en tant que travailleur autonome, à partir de 20$/heure. Tout dépend de l’expérience et de l’expertise du designer!
Étant d’abord reconnu comme concepteur, le bachelier en design obtient de meilleurs émoluments que le technicien issu d’un collège. Aussi, de plus en plus d’entreprises exigent le baccalauréat comme base d’embauche. Plusieurs organismes, comme les gouvernements, fonctionnent avec des normes conventionnées où plus le degré de scolarité est élevé, meilleur sera le salaire.
Oui, sans problèmes. Surtout, si vous avez tiré profit de cette pause pour gagner en expérience, votre candidature ne sera que plus appréciée.
La Faculté d’aménagement, d’architecture et des arts visuels a reçu officiellement l’aval du conseil d’administration de l’Université Laval pour démarrer l’implantation d’une École de design dès le mois de mai 2012.
Les programmes de formation en design graphique, en art et science de l’animation et en design multimédia, actuellement offerts à l’École des arts visuels, seront dès le mois de mai 2012, intégrés à la nouvelle École de design de la Faculté. Au fil du temps, la discipline du design s’est renforcée et a développé sa propre expertise. Dès lors, elle peut acquérir une autonomie complète au sein de la nouvelle École et élargir son offre de formation. L’École de design prévoit entre autres de créer dès 2014 un baccalauréat en design de type industriel, des diplômes d’études supérieures, des programmes de maîtrise et de doctorat.
L’École de design cohabitera avec l’École des arts visuels à l’Édifice La Fabrique, au cœur du quartier Saint-Roch. Implantée dans son milieu naturel, l’École entend bien favoriser les liens avec de nombreux professionnels et collaborer avec différentes associations et acteurs du milieu du design. Cette effervescence est essentielle pour attirer des professeurs de renommée et développer des échanges à l’international. L’École des arts visuels pourra par ailleurs se recentrer sur ses activités de recherche-création propre aux arts visuels et médiatiques, en enseignement des arts plastiques et en art avec la communauté.
À propos de la Faculté d’aménagement, d’architecture et des arts visuels
Unique en son genre, la Faculté d’aménagement, d’architecture et des arts visuels regroupe cinq entités distinctes : l’École supérieure d’aménagement du territoire et de développement régional, l’École d’architecture, l’École des arts visuels, la toute nouvelle entité - l’École de design – ainsi que son centre de recherche en aménagement et développement. Il s’agit, à l’échelle du Canada, d’une particularité unique à l’Université Laval. Par l’évolution constante de son offre de formation et son service aux étudiants, la faculté se distingue par l’intérêt qu’elle accorde à la recherche et la recherche-création.
Un nouveau fonds a été créé à la Fondation de l'Université Laval pour l'École de design : FER de la F.A.A.A.V. - Design (9098)
Ce Fonds a pour objectif de promouvoir le développement de l'enseignement et de la recherche en apportant son appui financier à des activités et des projets compatibles avec la mission universitaire dans le domaine du design qui lui est propre.
« Offert à l'École de design, le nouveau programme sera implanté à la session d’automne 2012
Par Yvon Larose
Les membres du Conseil universitaire, réunis en séance ordinaire le mardi 3 avril, ont approuvé à l’unanimité la création d’un programme de maîtrise en design multimédia. Ce programme sera offert à l’École de design qui verra le jour le 1er mai prochain à l’Université. Il sera implanté à la session d’automne 2012 et sera rattaché à la Faculté d’aménagement, d’architecture et des arts visuels. »
Le 28 mars dernier, le Conseil d'administration de l'Université Laval a nommé deux nouveaux directeurs pour l'École des arts visuels et la nouvelle École de design.
Monsieur Jocelyn Robert deviendra, à compter du 1er mai prochain, le nouveau directeur de l'École des arts visuels succédant à Monsieur Alain Rochon.
Monsieur Alain Rochon deviendra, à compter du 1er mai, le premier directeur de la nouvelle École de design.
» Consultez les dossiers de candidature comme complément d'information : École des arts visuels et École de design
Malgré un espace architectural très riche et invitant, il n’est malheureusement pas possible de faire de l’affichage ou des installations d’œuvres (nécessitant ou non de l’accrochage) de n’importe quelle manière à l’édifice La Fabrique. Cet édifice étant un espace public que nous partageons entre autres avec la Ville de Québec, nous devons répondre aux exigences de sécurité collective.
Voici donc quelques règles à respecter:
La location de casier étudiant se fait au Comptoir de services.
La direction de l’École organise la remise des travaux des sessions antérieures à deux reprises dans l’année, au début des mois d’octobre et de février (surveillez votre boite courriel @ulaval).
Les travaux de l’année précédente sont détruits une fois la remise terminée.
Notez également que certains enseignants peuvent avoir pris d’autres ententes avec leurs étudiants ou n’ont pas confié les travaux des étudiants pour remise.
75 espaces de stationnement sont réservés pour l’École à l’arrière de l’édifice La Fabrique, rue Sainte-Hélène.
Le coût du permis de stationnement est équivalent à celui de la catégorie 1 et donne accès au stationnement de l’édifice La Fabrique et aux aires de stationnement de catégorie 1 situées sur le campus de Sainte-Foy. Par contre, le permis de catégorie 1 délivré pour le campus de Sainte-Foy n’est pas valide à l’édifice de la Fabrique.
Consultez le site Web du Service de sécurité et de prévention pour obtenir plus d'informations.
Anthony Verge, finissant au baccalauréat en design graphique, se mérite le stage et la bourse de 5 000$ offert par lg2 Québec, une agence de publicité qui jouit d’une grande notoriété.
Cette récompense prestigieuse est accordée dans le cadre du partenariat entre lg2 et la soirée portfolio des finissants en design graphique. Ce partenariat, né de l’initiative du Service de placement de l’Université Laval, existe depuis maintenant trois ans et permet aux récipiendaires de ce stage d’entamer leur carrière de designer graphique dans un milieu enrichissant.
Toutes nos félicitations à M. Verge!
L'École de design a inauguré aujourd'hui son nouveau site Web : www.design.ulaval.ca et sa nouvelle page Facebook. Les actualités et les descriptions de programmes d'études en animation, design graphique et multimédia seront désormais associées à l'École de design de l'Université Laval. Monsieur Alain Rochon a accepté le mandat de directeur de la nouvelle École de design et Monsieur Jocelyn Robert celui de l'École des arts visuels. L'École de design et l'École des arts visuels se partageront les locaux, installations et ateliers situés à la Fabrique.
Trois étudiantes inscrites au profil entrepreneurial en design graphique, Stéphanie Gaudreault, Stéphanie Turgeon-Girard et Annick St-Pierre se sont mérité des bourses entrepreneuriales Hydro-Québec d'une valeur de 1 500$ chacune.
Les bourses entrepreneuriales Hydro-Québec visent à encourager l’élaboration de projets mis de l’avant par les candidats inscrits au Profil entrepreneurial. Leur attribution est basée sur la pertinence du projet pour le développement potentiel entrepreneurial du demandeur, les qualités intrinsèques du projet soumis ainsi que le dossier universitaire du candidat.
Vanessa Desbiens, finissante au baccalauréat en art et science de l’animation, se mérite le stage offert par Frima/Volta. Ce stage est l’occasion pour un de nos finissants d’entamer une carrière dans un milieu enrichissant jouissant d’une grande notoriété dans l’industrie du jeu vidéo et de production cinématographique de Québec.
Cette récompense prestigieuse a été accordée dans le cadre d’un partenariat entre Frima Studio et le Gala des finissants du BASA. Grâce à ce partenariat, né de l’initiative du Service de placement de l’Université Laval, l’édition 2012 du Gala BASA fut présentée sous la présidence d’honneur de Steve Couture, président-directeur général de Frima Studio.
Frima a également offert une bourse de 500$ à l’équipe gagnante du grand prix du Gala BASA, composée de Gabriel Bégin, Vanessa Desbiens, Malek Ghezal, Alexandre Lapointe, Marianne Morency et Béatrice Ortiz, pour le court-métrage d’animation 3D Behind That Door.
Toutes nos félicitations à vous tous qui avez su vous démarquer par votre talent et la qualité de votre travail. L’École de design et le Service de placement sont fiers de vous!
Le Gala du BASA a eu lieu le jeudi 10 mai 2012 au théâtre La Bordée.
Cet événement annuel comporte une exposition de portfolio des finissants au programme du baccalauréat en art et science de l’animation de l’Université Laval, suivi d’une projection des meilleurs travaux étudiants et d’une remise de prix dans diverses catégories de participation.
Les prix décernés lors de la soirée ont été déterminés par un jury de professionnels du milieu de l’animation et du jeu vidéo : Nancy Savard de Productions 10e avenue, Jacques Hébert de Frima, Claude Bordeleau de Volta, Patrick Beaulieu de Squeeze Studio, Daniel Lavoie d’Ubisoft et François Lallier de Nova Films. Cette année le Gala du BASA fut tenu sous la présidence d’honneur de M. Steve Couture, PDG et cofondateur de Frima Studio, une entreprise qui offre une gamme complète et variée de services en jeu vidéo et produits de divertissement. Frima compte maintenant plus de 350 employés qui travaillent dans le quartier St-Roch.
Catégorie Conception
Le corbeau - Vanessa Desbiens
Catégorie Images de synthèse
Vespa - Gabrielle Allard
Catégorie Animation graphique
Glucose Fructose - Catherine Bigras-Dunberry
Catégorie Court-métrage d’animation 2D
Le lutin - Simon B Bouchard, Marc-Antoine Richard, Joey Douville-Booth
Catégorie Court-métrage d’animation 3D
Roadkill - François Bonneville, Jade Bélanger, Vanessa Desbiens, Vincent Lachance, Chloé Proulx, Mathieu Robillard, Pascal Maltais, Rémi Danvoye, Karine Paradis, Guillaume Barrette
Coup de cœur de l’Association étudiante
Chat-Vreuil - Stéphane Demers
Prix spécial du jury
La mort illustrée - Pierre-Philippe B Arsenault, Francis Papillon, Grégory Verreault
Grand Prix
La vidéo ne peut malheureusement pas être diffusée car elle sera présentée dans différents festivals d'animation.
Behind That Door - Gabriel Bégin, Vanessa Desbiens, Marianne Morency, Alexandre Lapointe, Malek Ghezal, Béatrice Ortiz, Antoine Guertin
» Voyez tous les projets présentés lors du Gala
Merci à nos commanditaires : Université Laval, Théatre de La Bordée, Frima, Ubisoft, A.P.E., Sardine Productions, Coop Zone et PixiStudio.
Le colloque CHI (Conference on Human Factors in Computing Systems) est la plus importante conférence internationale en interaction homme-machine (IHM) au monde. Cette conférence a lieu annuellement depuis près de 30 ans au Maryland, aux États-Unis. Elle réunit chaque année plus de 2000 spécialistes (praticiens, chercheurs, enseignants, et étudiants) en design, ingénierie, management et expérience utilisateur.
Cette année le thème du concours portait sur l'expérience domestique et était ouvert aux étudiants universitaires inscrits dans un programme d'études en design.
« Space, Place, Threshold: Considering the Experience of Home from Within and Without. This year’s challenge is to design an object, interface, system, or service intended to help us to develop and share awareness, understanding or appreciation for our domestic experience as it relates to space, place, and threshold”. »
(source : CHI 2012)
Le projet proposé par l'équipe gagnante (Caroline Laroche, Serge Pelletier, Benoît Rochon et Joëlle Sasseville) de la Maîtrise en design multimédia s'attarde aux difficultés de communication de la cohabitation des personnes d'un même lieu et leur besoin d'intimité. Les étudiants ont développé un concept de porte interactive à interface tactile. En plus d’agrémenter l’esthétique de l’appartement, cette porte permet d’informer ses colocataires (et d’être informé) sur ses besoins d’intimité de manière subtile (signaux lumineux et colorés).
Pour plus de détails : shoji2012.com
Pour voir une vidéo de leur expérience au CHI : www.design.ulaval.ca/actualites/video-experience-de-lequipe-de-la-mdm-a-la-competition-internationale-du-chi-2012.html
Article de presse :
Message important pour tous les étudiants inscrits à l’École de design :
1er cycle :
2e cycle :
La session d’automne 2012 débutera le mercredi 5 septembre. La Loi électorale du Québec oblige tout établissement d’enseignement à donner congé, le jour du scrutin, aux étudiants qui sont électeurs. En conséquence, tous les cours, les examens ainsi que les autres activités pédagogiques prévus le 4 septembre 2012 ont été annulés et seront repris.
Par ailleurs, en raison du contexte de grève qui a prévalu dans certains établissements collégiaux, il est possible que quelques étudiants aient à terminer des activités reportées de la session d’hiver, du mois d’août jusqu’à la fin du mois de septembre prochain. Dans ce cas et malgré cela, les étudiants concernés seront attendus et accueillis à leur arrivée, entre le 5 septembre et le 1er octobre prochain, et tout sera mis en œuvre pour trouver les aménagements nécessaires pour faciliter leur intégration dans les cours.
Soyez attentifs aux communications par courriel que vous recevrez à votre adresse @ulaval.ca de la part de l’administration. Elles seront toutes importantes!
Vous trouverez beaucoup d’informations destinées aux nouveaux admis dans la rubrique Espace étudiants https://www.design.ulaval.ca/etudiants/nouveaux-admis.html.
Si vous avez des questions concernant votre inscription ou votre arrivée à l’École de design, écrivez à etudes@design.ulaval.ca
Les étudiants inscrits à l’École des arts visuels sont invités à consulter l’information relative à leur rentrée ici : https://www.art.ulaval.ca/actualites/session-dautomne-2012.html
Avec la rentrée scolaire qui approche, l'Université Laval accueille des étudiants provenant de divers horizons.
Afin de faciliter l'intégration de tous les étudiants, l’équipe du Bureau de la vie étudiante offre des services particuliers pour accueillir, informer et soutenir les étudiants de la communauté universitaire qui proviennent de l’extérieur du Québec.
Outre le Salon d'accueil qui se tiendra jusqu'au 7 septembre à la Salle d’exposition du pavillon Alphonse-Desjardins (local 2470), le Bureau de la vie étudiante propose aux étudiants étrangers des activités d'intégration et de découverte du Québec, un guide de séjour bilingue, un programme de jumelage et des rencontres individuelles qui les aident avec diverses formalités et les soutiennent dans leur processus d'adaptation.
Toute l'information sur les services et activités qu'offre le Bureau de la vie étudiante pour agrémenter l'arrivée et l'intégration des étudiants étranger se trouve ici : https://www.bve.ulaval.ca/etudiants-etrangers/services-d-accueil/seances-d-accueil/
Nos étudiants en art et science de l'animation font parler d'eux! Le magazine britannique 3D World, spécialisé en animation, illustration et effet 3D, consacre dans son numéro de septembre un article sur la conception et la réalisation du court-métrage Roadkill.
Ce court-métrage est le fruit du travail d'une équipe d'étudiants de la dernière cohorte du BASA, incluant Jade Bélanger, François Bonneville, Rémi Danvoye, Vanessa Desbiens, Vincent Lachance, Pascal Maltais, Karine Paradis, Chloé Proulx et Mathieu Robillard.
Ces derniers ont trimé dur pendant leur dernière année d'étude pour réaliser ce court-métrage qui qui présente, en 2 minutes et demie, les efforts déployés par une tortue dégourdie pour traverser une route désertique.
L'article paraîtra dans la prochaine édition du magazine, en kisoque le 12 septembre. Il est possible de lire l'article en ligne ici : www.3dworldmag.com/2012/09/06/roadkill-new-animation
Conférencier : Vincent Mauger, chargé de cours à l'École de design de l'Université Laval
Du livre-jeu « dont vous êtes le héros » jusqu’aux jeux vidéo à grand déploiement, plus que jamais aujourd’hui, le récit est devenu une expérience impliquant directement le lecteur-spectateur-joueur. Les méthodes de narration changent, les approches d’écriture également. Comment rédige-t-on un récit interactif? Regard sur les pratiques de scénarisation interactive faisant appel autant aux outils de l’écrivain qu’à ceux du designer, de l’écriture fine des jeux vidéo jusqu’à l’élaboration de mondes virtuels.
À propos du conférencier…
Vincent Mauger est chargé de cours à l’Université Laval, à l’Université de Montréal et à l’UQAT où son enseignement a trait à la scénarisation cinématographique, multimédia et vidéoludique. Terminant un doctorat sur mesure en design et cyberculture à l’Université Laval, il rédige une thèse sur le design narratif d’espaces ludiques. Il s’intéresse, entre autres, à la transmédialité, aux récits, fictions et personnages de jeux vidéo, de même qu’à l’épistémologie du design en tant que discipline et pratique interdisciplinaire. Outre les sujets du design et de l'écriture des jeux vidéo, ses contributions récentes traitent de la franchise Assassin's Creed, du cinéma numérique au Québec, du métadesign et du métajeu.
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Entrée libre. Réservations : 418 641-6789, poste 128.
Pour plus d'information : www.itis.ulaval.ca ou www.bibliothequesdequebec.com.
Le design, comme discipline générale, lie connaissance et création pour résoudre un problème. À l'heure où l'état du monde est inquiétant, où de grandes problématiques sociales, économiques et environnementales semblent insolubles, quelles solutions l'humanité peut-elle inventer ? Quel monde, quel design pour le 21e siècle ?
"All men are designers" disait Victor Papanek. Tout ce que nous faisons, de tout temps, est design. Le design est à la base de toute activité humaine. Il crée les objets du monde, et influence notre vie, notre culture, nos pensées et nos comportements.
S’adressant à tous, Design durable est un cours visant à explorer les champs disciplinaires du design sous l’angle de l’approche que propose le développement durable. Ce cours a comme principal objectif d’amener l’étudiant à réfléchir et à approfondir la définition du design, ainsi que d’élargir sa propre vision du rôle du designer face à la complexité des réalités sociales et environnementales actuelles. Offrant des pistes de réflexion quant à la définition des processus de design cohérents avec l’idée de durabilité, le contenu est axé sur l’étude des principes et connaissances générales en matière de design durable et de son évolution, l’analyse d’exemples concrets et la présentation de travaux et recherches des acteurs reconnus du domaine.
Le cours Design durable permettra tant au designer qu’à tout acteur contribuant à la sphère sociale de mieux saisir la portée comme l’ampleur de ses activités et des enjeux impliqués, et d’en développer un regard critique.
Ce cours est offert à tous les étudiants du campus, tant au premier cycle qu’aux cycles supérieurs. Il ne requiert aucun préalable. Il peut être aussi pertinent pour les étudiants de tous horizons, pas seulement les designers.
DES-4700 Design durable (1er cycle)
DES-6700 Design durable (2e et 3e cycles)
Hiver 2013 :
Jeudi 12h30
350 Boul. Charest est (Édifice du Boulevard)
Local 604
Description du poste
Critères de sélection
De plus, toutes les candidatures devront faire état :
Information supplémentaire : https://rh.ulaval.ca/cms/site/rh/lang/fr_FR/accueil/emplois/emplois_professeurs?offre=55541
Date limite de dépôt de candidatures : 1er février 2013
Monsieur Alain Rochon, directeur
École de design
295, boul. Charest Est, local 090
Université Laval
Québec (Québec) G1K 3G8 CANADA
alain.rochon@design.ulaval.ca
Nouveaux développements au Centre de documentation! Vous aurez désormais accès à plus de ressources et de services au 2e étage de La Fabrique.
Premièrement, Marie Lecours, technicienne en documentation, sera maintenant présente les matins et les après-midis au Centre de documentation. Pour collaborer avec madame Lecours, Marianne Demers-Desmarais, conseillère à la documentation à la Bibliothèque de l’Université, aura désormais un bureau au Centre de documentation et sera présente sur place tous les mercredis.
Marianne Demers-Desmarais est responsable des secteurs histoire de l’art, arts visuels, enseignement des arts, design et animation. En tant que personne-ressource pour tous ces secteurs, son rôle consiste à :
N’hésitez donc pas à venir la rencontrer pour lui faire part de vos suggestions d’achat pour le centre de documentation (ou la Bibliothèque) ainsi que de toute autre question concernant les services et ressources documentaires. Vous pouvez également lui recommander tous les étudiants qui ont besoin d’aide pour leurs recherches d’informations.
Vous pouvez rejoindre Marianne Demers-Desmarais par téléphone, les mercredis à la Fabrique, au poste 8538 et par courriel, en tout temps, à Marianne.Demers-Desmarais@bibl.ulaval.ca
Les horaires d’ouverture du Centre de documentation sont de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h.
La Fondation Kedl pour les arts offre une toute nouvelle bourse de perfectionnement aux étudiants de l’École de design, tous programmes et cycles confondus. Cette bourse, d’une valeur pouvant atteindre 4 000 $, vise à aider un étudiant à se perfectionner dans le programme de formation offert par une institution d’enseignement reconnue autre que l’Université Laval, que ce soit ici ou à l’étranger.
Les étudiants en échange à l’étranger ne peuvent bénéficier de cette bourse à moins qu’ils prévoient faire une formation en sus de celle prévue dans le cadre de l’échange (Profil international ou CREPUQ).
Admissibilité
Sont admissibles les étudiants de l’École des arts visuels ou à l’École de design de l’Université Laval du 1er, 2e ou 3e cycle, tous programmes confondus. Les étudiants doivent être inscrits à temps plein à l’hiver 2013.
Pour postuler
Le postulant à la bourse offerte par la Fondation Kedl pour les arts devra fournir les documents suivants :
Remarques
L’étudiant doit être disponible pour une courte entrevue (entre 15 et 30 minutes).
La Fondation Kedl pour les arts ne s’engage pas à distribuer annuellement des bourses, ni à justifier une décision.
Le postulant s'engage à transmettre une photographie de bonne qualité à la Fondation Kedl pour les arts et accepte que la Fondation et/ou ses partenaires la diffuse sur divers formats imprimés ou électroniques incluant les médias sociaux.
Le cahier de candidature du candidat devra être présenté au plus tard le 29 mars 2013 à 16h30, soit par courriel à l’adresse suivante :
ou par courrier au :
2323, Galvani bureau 150
Québec, QC.
G1N 4G3
Les nouvelles technologies ont un impact considérable sur l’ensemble de notre société, surtout dans un domaine aussi créatif et original que les arts. Certaines formes d’art sont nées grâce à la technologie alors que d’autres subissent son influence. La création artistique est profondément affectée par ces changements et plusieurs artistes profitent des nouvelles possibilités qui s’offrent à eux. Ces nouvelles technologies favorisent l’interdisciplinarité des artistes qui doivent dorénavant composer avec une vision plus élargie du monde de l’art.
Conférenciers invités :
Robert Faguy
Directeur de LANTISS (Laboratoire des nouvelles technologies de l’Image, du son et de la scène) et professeur au département de littérature de l'Université Laval.
Jocelyn Robert
Directeur de l’école des arts visuels de l'Université Laval.
Viviane Paradis
Directrice artistique du Mois Multi, dont la 14e édition se tiendra au Méduse du 31 janvier au 28 février 2013.
Animatrice :
Françoise Guénette
La conférence est GRATUITE et ouverte à tous!
Date : Mercredi 30 janvier 19 h à 21 h
Lieu : LANTISS, Pavillon Louis-Jacques-Casault, 1055 Rue du séminaire, 3e étage
Le LANTISS organise une journée porte ouverte au courant de la journée et dès 18h30, nous vous offrons une présentation spéciale d'un spectacle utilisant le castelet électronique (http://robot.gmc.ulaval.ca/fr/recherche/theme405.html )
Retrouvez toute l'information sur Facebook :
Le lancement officiel ainsi que le dévoilement du thème s’est fait aujourd’hui, le 29 janvier, à l’amphithéâtre de l'école d’architecture. Si vous avez manqué la rencontre, voici un petit résumé des informations qui ont été présentées.
Thème de la charrette 2013 : EXTRAVAGANCE
Critères d'évaluation:
PLUS DE 6500$ en prix à gagner lors de l'Encan du 5 avril
VENEZ EN GRAND NOMBRE AU DÉVOILEMENT DES GAGNANTS
AU 5@7 DE JEUDI!
pour toute question: objet@arc.ulaval.ca
* en architecture, l’expression "charrette" désigne une période de création intensive, qui se déroule souvent sous la forme d’un concours.
* en architecture, l’expression "charrette" désigne une période de création intensive, qui se déroule souvent sous la forme d’un concours.
L’Objet est un concours de design qui se déroule en deux étapes. La première consiste à concevoir un objet, seul ou en équipe, et à produire les documents nécessaires pour exprimer une idée (par exemple une vue 3D, un croquis, une maquette, etc.) Cette première étape se termine le 31 janvier avec le dévoilement des finalistes. Les finalistes sont ensuite invités à réaliser leur objet, qui sera vendu aux enchères à la soirée de l’encan de l’Objet au Musée de la Civilisation, le 5 avril 2013. Les finalistes courent également la chance de remporter plusieurs prix lors de cette soirée :
- prix de la charrette (1000$)
- prix du jury (1er prix : 1000$, 2ème et 3ème prix : 500$)
- et plus encore !
De plus, cet événement offre une excellente visibilité pour les concepteurs (objets affichés dans les vitrines du Simons du 18 mars au 1er avril et au Musée de la Civilisation du 2 au 7 avril).
L’équipe de l’Objet sera au local 2406 de l’édifice la Fabrique à midi le lundi 28 janvier afin d’expliquer les détails de l’événement et de procéder à l’inscription.
Le lancement officiel ainsi que le dévoilement du thème se fera, quant à lui, à 16h le 29 janvier à l’amphithéâtre de l'École d’architecture (1 côte de la Fabrique, local 2117).
Chaque année, les étudiants de la maîtrise en architecture organisent l’Objet, un événement de design préparé pour et par des étudiants dans le but de financer les activités de fin d’études. Cette année, l’Objet célèbre ses 20 ans. Afin de souligner cet anniversaire, tous les étudiants de la Faculté d'aménagement, d'architecture et des arts visuels sont invités à participer à la charrette de design qui aura lieu du 29 au 31 janvier 2013.
Pour plus d'information : www.objetulaval.com;
joignez-vous à l'événement Facebook : www.facebook.com/events/325215804264890/;
ou visitez la page Facebook de l’Objet pour y voir plusieurs photos des objets réalisés les années précédentes: www.facebook.com/pages/Objet/114421975340611?fref=ts
Toutes vos questions pourront être adressées à objet@arc.ulaval.ca.
Les étudiants de l’Université Laval provenant des quatre programmes de baccalauréat réunis dans La Fabrique sont fiers de vous inviter à l’exposition La Fabrique d’hier et d’aujourd’hui.
L’édifice de La Fabrique, anciennement connu sous le nom de Dominion Corset, a été pendant plusieurs années une fierté entrepreneuriale de la ville de Québec. Une bonne portion de la population féminine était fière d’y travailler pour confectionner des corsets. Le Dominion Corset a même été reconnu comme l’une des plus belles fabriques du monde.
Malheureusement, l’histoire de ce patrimoine tombe tranquillement dans l’oubli. C’est pourquoi nous proposons des oeuvres de disciplines variées et actuelles qui feront revivre d’une façon nouvelle l’histoire qui entoure ce lieu encore investi par la création!
Ce sera une exposition thématique fusionnant le passé et le présent.
Venez découvrir une dizaine de talents de la relève toute réunie pour cette occasion dans la salle d’exposition du 3e étage de l’édifice de La Fabrique (local FAB- 3153).
Vernissage le jeudi 7 février à 18 h
Vous rappelez-vous qu'une équipe de la maîtrise en design multimédia a remporté la première place à la compétition de design étudiant du colloque internation CHI2012 ?
(Voir l'article MDM | Nos étudiants gagnants de la compétition mondiale CHI 2012 en design interactif)
Eh bien un membre de l'équipe, Benoît Rochon, a mis en ligne cette vidéo relatant l'expérience de cette équipe de talent! Le voici :
Le Mois Multi a levé le voile sur le prochain festival en annonçant, le 16 janvier dernier, sa programmation regroupant plus de 100 artistes des arts multidisciplinaires et électroniques venus d’Allemagne, de Belgique, du Brésil, de la Corée du Sud, des États-Unis, de la France, du Royaume-Uni, de la Suisse, du Canada, du Québec et de la Ville de Québec. Élaboré autour de la notion d’espace, le Mois Multi annonce des œuvres fortes et inédites : cartographies sonores, performances numériques, dispositifs cinétiques, scénographie technologique, concerts interactifs, cabarets audio, ateliers, rencontres avec les artistes et bien plus.
Le Mois Multi se déroulera à la Coopérative Méduse et dans son réseau de précieux partenaires : le Musée national des beaux-arts du Québec, le Palais Montcalm, le Grand Théâtre de Québec, la Galerie des arts visuels de l’Université Laval, le LANTISS, La Cuisine et LA CHAMBRE BLANCHE. Un espace café recevra le public pour causeries et rencontres dans le hall de Méduse.
Conçues et réalisées à partir d’une réflexion sur l’espace, les œuvres au programme de cette 14e édition du Mois Multi exploitent une panoplie de moyens technologiques qui viendront bousculer puis fasciner le spectateur dans son environnement coutumier. L’espace est rêvé, revu et réinventé, l’espace scénique n’est plus celui qu’on s’imaginait, des relations dichotomiques surgissent entre le proche et le lointain, le public et l’intime…
Du 31 janvier au 28 février, le Mois Multi vous convie donc à l’exploration d’œuvres artistiques inattendues, souvent ludiques et toujours grandement suggestives. Le Mois Multi, l’art comme expérience!
Billetterie
Le Mois Multi a sa propre billetterie dans le hall de Méduse au 591, rue De Saint-Vallier Est. Vous pourrez vous procurer des billets à cet endroit du mardi au samedi de 12 h à 18 h et les soirs de spectacles jusqu’au 10 février (fermée les 4 et 5 février) ou par téléphone au 418 524-7553 poste 3.
Les billets sont également disponibles en tout temps sur lepointdevente.com (jusqu'à 15 h le jour de la représentation) à l’exception des spectacles présentés au Grand Théâtre de Québec (pho:ton et The Absence of Shelling is Almost Like Music) et au Palais Montcalm (Le téléphone bien tempéré) qui sont disponibles sur le réseau Billetech.
Forfaits pour tous les spectacles (excluant l’atelier d’introduction à la lutherie numérique) en vente jusqu’au 31 janvier 2013 (à la billetterie du Mois Multi) :
97 $ / étudiant 132 $ / général *
* taxes et frais de services inclus
Le Mois Multi s’est révélé depuis ses débuts en 2000 un lieu de rassemblement pour quiconque est curieux de découvrir les nouvelles formes artistiques issues de la multidisciplinarité et des arts électroniques. Venus d’ici et de l’étranger, les artistes du prochain Mois Multi vous invitent à cette rencontre multidisciplinaire unique au Québec, riche de regards croisés et de gestes artistiquement novateurs.
Informations : Marie-Christine Mathieu, Productions Recto-Verso
418 524-7553 poste 1
mariechristine.mathieu@mmrectoverso.org
Le volleyeur Jérémie Lortie, étudiant au baccalauréat en art et science de l'animation (BASA) a été nommé joueur par excellence du Championnat de volleyball masculin de SIC (Sport interuniversitaire canadien). Suite au Championnat, le Rouge et Or a été couronné champion national au stade couvert du PEPS de l’Université Laval.
Ses performances lui ont aussi valu de paraître sur la liste des athlètes de la semaine du Rouge et Or pour la semaine du 25 février au 3 mars 2013.
Toutes nos félicitations à Jérémie!
Articles complets :
Rouge et Or : http://www.rougeetor.ulaval.ca/honneurs/athletes_de_la_semaine/details/article/-cd46deb22b/index.html
SIC : http://english.cis-sic.ca/aotw/2012-13/week_22/player_M
À l'initiative d'un étudiant en animation, un atelier de bande dessinée aura lieu tous les mercredis de la session d'hiver 2013. Les bédéphiles souhaitant pratiquer la bande dessinée y sont conviés afin d'élaborer un recueil de bande-dessinée collectif. Vous n'avez qu'à apporter votre matériel de dessin habituel.
Quand ? Les mercredis, de 18h30 à 19h30
Où ? Au local FAB-2334
BIENVENUE À TOUS!
Pour information : alexandre.caroussos.1@ulaval.ca
"Jérémie Lortie dessine des personnages animés comme il joue au volleyball: avec flamme et détermination" ...
Lisez la suite de l'article de Renée Larochelle dans Le Fil : www.lefil.ulaval.ca/articles/dessine-moi-champion-34733
L'International Game Developers Association (IGDA), chapitre de Québec, vous invite à l'édition 2013 de sa soirée portfolio. La soirée aura lieu le mardi le 9 avril à La Fabrique. Sur place, Beenox, Frima, Ubisoft, Studio Parabole et Volta avec des professionnels de la modélisation, de l'animation, de l'illustration, du game design et de la programmation.
Les personnes intéressées à rencontrer les professionnels du milieu ont jusqu'au 5 avril pour s'inscrire en remplissant ce formulaire :
https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey=dHh5eVFhb29JZlRnV19zZXFUMXJmZGc6MQ
Il sera également possible de s'inscrire sur place, mais la priorité sera donné à ceux qui se seront incrits à l'avance.
Arrivez à compter de 17 h. Les évaluations débuteront à 17 h 30.
Soirée Portfolio de l'IGDA
Mardi 9 avril 2013
Édifice La Fabrique
295 boulevard Charest Est, Québec.
Félicitations à Guillaume Boutet, étudiant en design graphique qui est finaliste dans la catégorie "Affiche" pour sa création dans le cadre du Festival du Film Étudiant de Québec.
Les lauréats seront connus lors du Gala de la vie étudiante qui aura lieu le 18 avril prochain.
Le Gala a pour mission de reconnaître et de récompenser l'excellence et le mérite des étudiants impliqués dans la communauté lavaloise. Cette célébration des initiatives parascolaires sera aussi l’hôte de la finale locale de Forces AVENIR.
Bonne chance à tous!
Depuis maintenant 27 ans, le Réseau ACTION TI, l'association qui rassemble les professionnels et les praticiens des technologies de l'information (TI) au Québec, souligne l'excellence en TI en organisant chaque année le concours des OCTAS, un événement prestigieux dont le but est de mettre en lumière les meilleures réalisations en TI au Québec.
C'est dans le cadre d'une soirée haute en couleur tenue le 10 avril à l'Usine C, à Montréal, en présence de plus de 300 représentants du milieu des TI, qu'ont été dévoilés les noms des 68 finalistes du concours des OCTAS 2013, organisé par le Réseau ACTION TI.
Jean-Ambroise Vesac, doctorant en art et culture numériques à l'École de design de Université Laval a été mis en nomination dans la catégorie Relève étudiante – niveau universitaire.
Les noms des lauréats des prix OCTAS seront annoncés à l'occasion d'une grande soirée de Gala qui se tiendra le 25 mai 2013 au Palais des congrès de Montréal. Comme chaque année, cette soirée réunira près de 1 000 convives. L'OCTAS de l'Excellence sera également attribué à cette occasion à la réalisation qui se sera distinguée entre toutes.
Retrouvez plus d'information sur le site d'Action TI : http://actionti.com/accueil/octas/octas2013/les-finalistes-2013
Admisibilité :
Pour être admissible à ce concours, l’étudiant doit être finissant et exposer à l’événement portfolio prévu en mai 2013. Votre dossier de candidature doit contenir :
Les demandes doivent être déposées au secrétariat de l’École de design de l’Université Laval, au plus tard le lundi 20 mai 2013 à 16h30. À noter que les dossiers incomplets et mal présentés seront ignorés.
LIBÉO et UNIK MÉDIA remettront chacune un prix de 1000$ à un étudiant inscrit pour la bourse René-Richard qui s’est le plus distingué par la présentation de son PORTFOLIO DESIGN ET WEB, version imprimée ou électronique (PDF).
En vous inscrivant pour la Bourse René-Richard, vous courez également la chance d'obtenir un stage rémunéré de 2 mois chez LIBÉO!
Les noms des lauréats du prix et des personnes retenues en entrevue pour le stage seront dévoilés le soir du vernissage de l’exposition des finissants qui se tiendra le jeudi 23 mai 2013 à l’Espace 400e Bell, 100 Quai Saint-André, Québec, QC. G1K 3Y2.
Pour avoir accès au formulaire d’inscription : https://repertoire.bbaf.ulaval.ca/bourse/6704/bourse-rene-richard-design-graphique-ete-2013
Pour information supplémentaire: Alain.Rochon@design.ulaval.ca
1ere édition de 13 Gourous & moi à Québec
De grands directeurs artistiques et designers graphiques réunis en un même lieu pour tourner les pages de votre portfolio et parler de votre destinée créative.
Inscrivez-vous avant le 18 avril!
Pour connaître les détails : http://www.sdgq.ca/ne_pas_manquer_details.php?id=141
Pour la deuxième année consécutive c'est une équipe de l'École de design de l'Université Laval qui a remporté la première place de la compétition internationale de design CHI2013.
À l'instar de leurs collègues de l'année dernière (voir l'article MDM | Nos étudiants gagnants de la compétition mondiale CHI 2012 en design interactif), l'équipe de la maîtrise en design multimédia formée de Tony Aubé, Hugo Savoie, Mathieu Thériault et Stéphanie Turgeon-Girard a remporté la compétition avec leur projet PALÉO.
Deux équipes de la maîtrise en design multimédia participaient cette année à la compétition étudiante du CHI. La deuxième équipe faisait partie des 4 équipes finalistes avec le projet KAVA.
En donnant le thème "Empowering the Crowd: Changing Perspectives Through Collaboration" à la compétition de cette année, les organisateurs de la compétition demandaient aux étudiants de se pencher sur de nouvelles solutions et de nouveaux groupes de personnes qui pourraient bénéficier de la technologie grâce à un design interactif judicieux.
Le 1er mai 2013 restera un jour historique pour la Faculté d'aménagement, d'architecture, d'art et de design de l'Université Laval. En effet, la Faculté adoptait aujourd'hui ce nouveau nom incluant le terme "design" représentant l'École de design qui fête aussi son premier anniversaire aujourd'hui.
Ce succès des équipes de la MDM au CHI vient souligner la pertinence de l'ajout du design comme discipline à part entière à la Faculté et rejailli sur toute l'École.
FÉLICITATIONS AUX 2 ÉQUIPES!
Projet lauréat : Paléo : système collaboratif de conciliation sociale
Paléo est un système d'interfaces urbaines installées sur les murs de certains abribus du quartier St-Roch. Conçues en fonction du climat québécois, les interfaces dégagent de la chaleur au toucher et cette chaleur est amplifiée lorsque deux personnes (situées dans deux abribus différents) touchent leur écran en même temps. L'objectif de ces interfaces est de stimuler la collaboration entre les différentes classes sociales qui cohabitent le quartier sans pour autant être portées à interagir naturellement les unes avec les autres. Le projet vise à atténuer les préjugés qui existent entre ces classes sociales en encourageant les habitants d'un même quartier à partager une expérience de collaboration ludique et "chaleureuse". paleo2013.com
Étudiants :
Projet finaliste : Kava : expérience de partage urbain
Étudiants :
Application de réalité virtuelle conçue spécialement pour être utilisée dans un lieu précis du quartier St-Roch : le parc St-Roch. Le quartier St-Roch a la réputation d'être le quartier du Web à Québec. Pourtant, lorsqu'on y circule, aucun indice physique, matériel ou architectural ne témoigne de ce trait particulier. Le caractère Web de St-Roch est invisible. Il est humain. On le doit aux connaissances et aux compétences de centaines d'entreprises et de travailleurs du quartier. L'objectif de Kava est de rendre visible l'invisible (l'invisible étant l'identité technologique due à la présence des travailleurs du Web dans le quartier). Kava est une application de réalité augmentée conçue pour le quartier St-Roch. Uniquement utilisable dans ce lieu, son contenu sera généré par les travailleurs du quartier et pourra être consulté par les usagers du parc. Connecté à un réseau social privé, Kava permet de partager du contenu de nature variée sous forme amusante et originale. http://www.projetkava.com/
Dans le cadre du 81e Congrès de l'Acfas, Renée Bourassa et Bernard Guelton de l'Université Panthéon-Sorbonne (Paris 1) présentent le colloque « Géofictions », fictions, espaces et cartographie dynamique.
Le vendredi 10 mai 2013 de 8 h 30 à 17 h 15 au local DKN-1451
À l’heure où un nombre croissant d’artistes, de géographes et de narratologues en viennent à croiser et à interroger leurs expériences et savoirs réciproques[1], l’équipe de recherche fictions & interactions de l’UMR ACTE développe ses investigations et ses expérimentations au centre de ces rencontres et de ces croisements. Le séminaire doctoral 2012-2013 intitulé « Géofictions » propose de rencontrer un certain nombre d’artistes, de géographes et d’écrivains sur ces questions.
Dans les fictions canoniques (cinéma, littérature), la perception du sujet est scindée entre l’environnement réel et l’univers imaginé. En situation d’immersion, l’attention à l’univers fictionnel finit par absorber presque entièrement la conscience du sujet, tandis que le corps est majoritairement immobilisé. Les déplacements et les actions qui sont au fondement même de la construction de l’espace perçu sont réactivés mentalement et accompagnés le plus souvent d’une implication émotionnelle. L’exploration de l’espace fictionnel se produit à l’intérieur de la conscience du sujet à partir des représentations et des médias qui servent de support aux fictions artistiques.
Que deviennent la recréation et l’exploration de l’espace fictionnel lorsque celui-ci ne se conçoit plus du point de vue d’un sujet immobile, mais à travers ses déplacements et ses actions dans les jeux en réalités alternées? Une part croissante d’artistes met en œuvre des situations en réalités alternées qui ménagent des confrontations entre univers réels, virtuels et fictionnels. Ici, l’espace physique, devient le cadre pour déployer un engagement fictionnel où les actions, la mobilité du sujet et les interactions avec d’autres participants deviennent déterminantes. Les outils virtuels impliqués dans les réalités alternées peuvent alimenter et augmenter des situations réelles, mais aussi développer des contextes fictionnels. L’articulation entre ces contextes réels, virtuels et fictionnels restent pour une grande part à préciser.
La cartographie dynamique peut constituer un élément essentiel pour structurer ces différents contextes et ces œuvres sous le mode des réalités alternées. Elle permet de coordonner la géolocalisation des participants, leurs interactions, les contenus fictionnels associés à des emplacements réels dans un espace souvent urbain avec les scénarios et les règles mises en jeu.
En partant de cette problématique ancrée dans les recherches récentes de l'équipe Fictions & interactions sur les immersions, on envisagera avec plusieurs invités un questionnement plus général sur la notion de géofiction.
Pour consulter l'horaire complet : http://www.acfas.ca/evenements/congres/programme/81/300/349/c
L'étudiante en design graphique Bianca Lachance Beaudoin a le vent dans les voiles! Inscrite au profil entrepreneurial, elle vient de recevoir une bourse entrepreneuriale Hydro-Québec.
Les bourses entrepreneuriales Hydro-Québec s'adressent aux étudiantes inscrits au Profil entrepreneurial et souhaitant obtenir un soutien financier dans le développement de leur projet et de leurs compétences entrepreneuriales. Par ce programme de bourses, l'Université Laval souhaite mettre à l'avant plan la créativité, le leadership, l'engagement et la volonté d'entreprendre de ses étudiants, dans le développement de projets en lien avec leur domaine d'études.
Originaire de la Beauce, Bianca Lachance Beaudoin désire créer sa propre entreprise de design graphique près de St-Georges, d'ici 5 ans. Son projet présenté au comité chargé d'évaluer les dossiers de candidatures détaillait la manière dont elle allait atteindre son objectif; d'abord en acquérant de l'expérience comme travailleuse autonome; puis en menant une étude de marché visant à juger du potentiel d'implantation dans la région.
Toutes nos félicitations, et bonne chance pour la suite!
Les finissants 2013 du programme design graphique de l'Université Laval vous invitent à leur exposition UNE AUTRE EXPO qui se déroulera du 23 au 25 mai 2013 à l'Espace 400e BELL de Québec.
Le projet Migration numérique de Jean-Ambroise Vesac, étudiant au doctorat sur mesure en art et culture numériques, a reçu l'OCTAS Relève étudiante - niveau universitaire lors du Gala des OCTAS 2013 le 25 mai dernier au Palais des congrès de Montréal.
« Migration numérique, c’est la rencontre entre l’humain et la technologie. C’est d’abord une application informatique permettant au participant de se transposer, artistiquement, à l’écran dans une numérisation 3D de lui-même ou d’emprunter le visage d’un autre. Migration numérique, c’est la rencontre entre l’auteur de l’application et divers modèles, hommes, femmes et enfants, qui ont accepté de prêter leurs traits à la numérisation 3D ou à la captation vidéo. Grâce à l’artiste et à sa machine, c’est ensuite découvrir une représentation virtualisée d’eux-mêmes. Au fil des étapes, Migration numérique devient ainsi à la fois la démarche de création d’une application de création artistique ainsi que l’expérience d’une rencontre et d’un devenir numérique. »
Vidéo des projets finalistes dans la catégorie Relève étudiante - niveau universitaire
Organisé chaque année depuis 1987 par le Réseau ACTION TI, le concours des OCTAS vise à rendre hommage aux individus, entreprises et organismes qui contribuent à l’essor des technologies de l’information au Québec.
Sur le même sujet : Un étudiant de l’École finaliste au concours OCTAS 2013
C'est le 28 mai dernier à l'Impérial de Québec qu'à eu lieu le Gala BASA 2013. C'est lors de cet événement annuel organisé par les finissants que sont reconnus les talents des étudiants au Baccalauréat en art et science de l'animation. Les prix décernés lors de la soirée ont été déterminés par un jury de professionnels du milieu de l’animation et du jeu vidéo :
* Notez bien que nous ne présentons les projets lauréats qu'en partie pour permettre aux étudiants de les présenter en primeur à divers concours et festivals. Visiter le site du GalaBASA 2013
Catégorie Conception Monstre - Dimitri Néron
Catégorie Image de synthèse L’écrivaine - Fredérick Neegan Trudel, Laurence Fortin Gagnon, Quentin Méciar
Catégorie Œuvre interactive Le français animé - Catherine Bigras-Dunberry
Catégorie Animation graphique Appel inconnu - Mathieu Falaise
Catégorie Court-métrage 2D Tommy - Éloi Grenier Thibault
Catégorie Court-métrage 3D Coupe de choix - Sylvain Karpinski, Simon Leclair, Simon-Pierre Légaré, Félix Leblanc-Beauregard
Prix Meilleure idée originale Papi Pong Peng - Carol-Ann Belzil Normand
Prix Meilleure animation Ciel d'encre - Audrey B. Portelance, Caroline Pellerin
Prix Meilleure direction artistique Coupe de choix - Sylvain Karpinski, Simon Leclair, Simon-Pierre Légaré, Félix Leblanc-Beauregard
Prix Coup de coeur de l’AEASA Ciel d'encre - Audrey B. Portelance, Caroline Pellerin
Prix du Public Ciel d'encre - Audrey B. Portelance, Caroline Pellerin
Mention spéciale du jury #1 Appel inconnu - Mathieu Falaise
Mention spéciale du jury #2 Un sacré mariage - Francis Papillon, Grégory Verreault
Grand Prix du Jury Tommy - Éloi Grenier Thibault
L'équipe de réalisation de « Behind That Door » vient de remporter la première place dans la catégorie 3d au Festival international du film étudiant de Toronto. Bravo à Gabriel Bégin, Vanessa Desbiens, Malek Ghezal, Antoine Guertin, Alexandre Lapointe, Marianne Morency et Béatrice Ortiz.
Félicitations à Gregory Verreault et Francis Papillon dont le film « Un sacré mariage » a été sélectionné pour être en compétition au Festival du film d’animation d’Ottawa.
Félicitations à l’équipe de « OkKo ». Le film a été sélectionné dans le cadre du Festival Vitesse Lumière. Bravo à Gregory Verreault, Francis Papillon et toute l’équipe : Olivier Carignan, Laurence F. Gagnon, Alexis Gros-Louis Houle, Gabriel Bégin, Vincent Rodrigue, Alexandre Lapointe, Raphaël Maltais et Frédérick Neegan-Trudel.
Aussi, quatre courts métrages réalisés au BASA seront présentés au cinéma Le Clap à Québec du 12 juillet au 8 août. Ne manquez pas de voir Appel Inconnu, Ciel d'encre, Tommy et L'écrivaine dans des conditions optimales.
L'atrium de l'Édifice La Fabrique exhibe depuis peu ses nouvelles rondeurs...
En effet, à la suite du réaménagement du secrétariat de l'École des arts visuels et de l'École de design une œuvre sculpturale éphémère s'y est intégrée. Durant l'année, vous pourrez découvrir l’œuvre de Camille Rajotte, étudiante à l'École des arts visuels et récipiendaire du 1er prix de la première édition du concours « Que le véritable Maurice se lève ». Les juges ont souligné le ton professionnel du projet de madame Rajotte, ainsi que la force du concept exploitant judicieusement le potentiel du site.
Crédit photo : Renée Méthot
« Cette proposition questionne l'aspect incomplet de la colonne et utilise la forme triangulaire formée par cette incomplétude. La forme vient d'abord se confondre à la base de la colonne puis se détache dans un mouvement très souple. Cela donne vie à la pièce manquante et l'active comme un élément étranger et original qui s'oppose à la rigueur de l'angle droit qu'elle aurait dû former. »
« Que le véritable Maurice se lève », le concours
Cet espace de création architectural est offert aux étudiants de l'École des arts visuels et l'École de design lors d'un concours annuel ouvert aux différents domaines d'expertises des étudiants : sculpture, image de synthèse, art sonore, typographie, moulage, installation, etc.
Les choix du jury sont basés sur les critères suivants :
Après quelques années de préparation, ça y est! L’Association des étudiantes et des étudiants de Laval inscrits aux études supérieures, communément appelée ÆLIÉS, a enfin son café étudiant. Le café Fou ÆLIÉS a ouvert le mardi 3 septembre. Il est situé au rez-de-chaussée du pavillon Alphonse-Desjardins, près de la porte ouest du bâtiment, dans l’espace occupé auparavant par le Café des poètes. L’endroit a une capacité de 80 places assises. Son mandat se situe à la croisée du café et du bistrot de quartier. Le Fou ÆLIÉS se veut un lieu de rassemblement convivial. Il offre des repas légers et de qualité. On y trouve également un grand nombre de produits brassicoles d’artisans régionaux.
En un an, le campus s’est enrichi de trois nouveaux cafés étudiants. Les autres sont le Café l’Équilibre, au stade TELUS-Université Laval, et L’Exode, à l’édifice La Fabrique. Loin de s’essouffler, le mouvement se poursuivra, cet automne, avec l’ouverture d’un autre Café l’Équilibre, cette fois au PEPS. Et le projet Cuisine Campus, de la Confédération des associations d’étudiants et étudiantes de l’Université Laval (CADEUL), est toujours sur les rails. Il vise à confier aux étudiants la gestion des cafétérias de la cité universitaire.
[...]
Les personnages virtuels se multiplient depuis quelques années dans les arts médiatiques et les arts de la scène en empruntant plusieurs apparences. Ils se situent dans la lignée des êtres artificiels ayant peuplé l’histoire humaine au sein de représentations fantasmagoriques, que ce soit sous forme d’ombres, de doubles ou de spectres ayant le pouvoir de s’animer. En effet, les figures du simulacre jouant sur l’illusion perceptive ou sur les leurres sont aussi anciennes que la faculté de symboliser. Au sein des représentations contemporaines, elles partagent la scène avec l’acteur ou le danseur en chair et en os, par le truchement de projections d’images ou en s’incarnant dans des automates issus de la robotique. Dans les mondes fictionnels du cinéma numérique, ces figures anthropomorphiques relèvent de l’animation de synthèse. Elles agissent à titre de personnages : parfois elles dialoguent avec les acteurs réels, d’autres fois elles les remplacent. Qu’est-ce qui rend présent, performatif et parfois inquiétant un personnage virtuel ? Quel rôle est-il appelé à jouer dans les pratiques artistiques contemporaines des arts de la scène ? Dans le domaine de la danse, les chercheurs explorent le mouvement de ces corps virtuels, désormais dissociés de leur enveloppe charnelle d’origine. Quels sont les procédés scénographiques et médiatiques utilisés pour animer ces personnages et créer un effet de présence ? Quelles transformations esthétiques opèrent les simulations du corps de synthèse ? Le personnage virtuel peut-il vraiment simuler le corps humain dans toutes ses nuances expressives, tant sur le plan de son apparence que de son comportement ? Et que nous apprend le corps artificiel sur l’identité motrice ou encore sur le phénomène de l’empathie ? Ce sont quelques-unes des questions que posent les auteurs que nous avons réunis ici. Cet ouvrage se penche sur les effets de présence que suscitent de tels êtres artificiels, en relation avec le corps performatif.
Sous la direction de Renée Bourassa et Louise Poissant
Les avatars, personnages et acteurs virtuels médiatisent notre présence dans les environnements interactifs et expérientiels du cyberespace. Agents d’interfaces ou personnages de jeux vidéo et d’univers ludiques, ces figures anthropomorphiques occupent un rôle de plus en plus important dans les interfaces numériques qui prolifèrent. Dans les univers imaginaires du cinéma, les personnages de synthèse mettent en jeu la question du réalisme de la représentation. Ils remplacent l’acteur humain ou encore ils interagissent avec lui en tant que partenaires, en créant de saisissants effets de présence. Dans les jeux vidéo, les figures de synthèse adoptent une apparence humaine et simulent le comportement du vivant. Dans les mondes en ligne du cyberespace, les avatars et acteurs virtuels remettent en question l’identité et la sociabilité. Ils transforment les arts de fiction, tout comme les modalités opératives des interfaces interactives. En effet, leur mode performatif place l’expérience au centre de l’action du sujet, il augmente ses puissances d’agir.
À travers ces avatars ou acteurs virtuels se tracent les enjeux de la présence médiatisée par les technologies ainsi que de la coprésence, soit la présence partagée dans un nouvel espace de socialisation. Par leur intermédiaire, les mondes en ligne et hors ligne s’interpénètrent pour façonner des réalités hybrides. Comment les avatars, personnages et acteurs virtuels interviennent-ils dans les différents univers numériques ? En interagissant avec nous ou en transportant nos multiples identités, comment affectent-ils notre expérience et notre engagement dans le cyberespace ainsi que notre relation au monde ? De quelle manière génèrent-ils de nouvelles formes de performativité ainsi que des effets de présence ? Ce sont quelques questions que posent les auteurs de cet ouvrage.
Sous la direction de Renée Bourassa et Louise Poissant
Publiée le 20 août 2013
Conférence Midi-Innovation TI
"Transposer l'expérience de sens: communications, arts et technologies"
Un opéra numérique, créé et chanté par des avatars informatiques; une collaboration entre personnages virtuels et humains pour créer, par la voix, une œuvre commune; un outil technologique permettant de transposer en sensations visuelles et tactiles les émotions portées par la voix humaine; une application permettant de rendre plus immersive l'expérience d'écoute sur album, etc.
Voilà quelques-uns des projets et des concepts novateurs portés par Jocelyne Kiss, professeure à l'École de design de l'Université Laval, qui seront présentés lors de cette conférence Midi-Innovation TI, présentée le jeudi 11 avril 2013, 11h30, au local 1168 du pavillon d'optique-photonique : une occasion de découvrir à quel point, grâce aux nouvelles technologies, l'univers des sens est aujourd'hui plus perméable que jamais!
Conférencière : Jocelyne Kiss, professeure, École de design de l'Université Laval
Cette conférence était présentée par l'Institut Technologies de l'information et Sociétés (ITIS), en collaboration avec Québec International, au local 1168 du pavillon d'optique-photonique de l'Université Laval, le mardi 11 avril 2013.
Sur les berges de la côte nord du fleuve Saint-Laurent, des Amérindiens formaient autrefois un clan appelé Papinachois, c'est-à-dire: ceux qui aiment rire et sont accueillants. Cette exposition met en valeur les illustrations de Joanne Ouellet, les livres écrits par Michel Noël ainsi que les objets amérindiens ayant inspiré la série de huit livres réédités chez Dominique et compagnie sous la direction littéraire de Sylvie Roberge.
Présence de Joanne Ouellet
Suite à l'avis favorable de la Commission d’évaluation des projets de programmes de la CREPUQ* et dans l’attente de l’autorisation finale du MESRST**, l’École de design de l’Université Laval est heureuse d’annoncer l’ajout d’un programme de baccalauréat en design de produits dispensé par la Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design. Ce nouveau programme est la seule formation spécialisée axée sur le design de produits dans l’est du Québec.
Cette formation permet aux étudiants d’assimiler toutes les étapes du développement de produits, de la conception jusqu’à la fabrication. L’approche pédagogique privilégiée intègre les apprentissages théoriques et techniques, du design et de la créativité. Mais ce qui distingue ce programme avant tout, c’est l’importance qu’il accorde à l’étude approfondie des besoins de notre société notamment par l’acquisition de connaissances en ethnographie, mais aussi, il vise à stimuler le sens de l’entreprenariat et de l’innovation par le design.
Située dans le quartier St-Roch, où se trouve une grande concentration d'entreprises technologiques et de diffuseurs culturels, l’École de design constitue un environnement particulièrement inspirant pour les futurs designers de produits.
Les futurs diplômés de ce programme seront porteurs d’une vision novatrice du design de produits où la créativité, l’innovation et la responsabilité sociale ainsi qu’environnementale sont indissociables. Ils seront à même de relever les nombreux défis qu’attendent les designers d’un monde où chaque nouveau produit se doit d’être pertinent, voire essentiel.
En ce sens, le nouveau baccalauréat en design de produits de l’Université Laval invitera ses futurs étudiants à changer le monde pour le plus grand bénéfice de la société!
* Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec qui portera désormais le nom de Bureau de coopération interuniversitaire (BCI)
** Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie
Nadège Dionne-Tremblay étudiante en design graphique à l'École de design est lauréate du concours d'affiches publicitaires niveau universitaire : Change le rythme du trafic organisé par la Fondation Monique-Fitz-Back. Le concours avait pour but d'inciter les 17-25 ans à utiliser le transport en commun.
Ses affiches ont été exposées entre mai et octobre 2013 dans des espaces Zoom Média à travers la province.
Ayant aimé le concept, la Société de transport de Lévis a décidé de reprendre le concept publicitaire et de l'afficher dans son réseau d'autobus.
Nadège Dionne-Tremblay raconte son histoire à Claude Bernatchez : Entrevue avec Claude Bernatchez à la Première heure de Radio-Canada le 16 janvier 2014
Vendredi 21 février 2014, 8h30 à 12h30
Salle 2320-2330, pavillon Gene-H.-Kruger, Université Laval
Rassembler l’expertise universitaire en TI autour d’une thématique donnée, dans une perspective multifacultaire, multidisciplinaire, multisectorielle : voilà quel est l’objectif du Carrefour numérique proposé par l’Institut Technologies de l'information et Sociétés (ITIS). Par ces demi-journées, l’équipe de l’Institut souhaite offrir un moment de découverte, d’échange, de réseautage, de réflexion aux étudiants, aux membres de la communauté universitaire autant qu’aux gens de l’industrie.
La formule de la série « Carrefour numérique » est simple : quatre présentations, de 45 minutes chacune, incluant une période de questions, réalisées par quatre chercheurs (ou équipes de recherche) provenant de quatre champs d’application distincts. Il s’agit d’une occasion unique d’acquérir de nouvelles compétences numériques transversales, de découvrir d’autres champs d’expertise autour d’une même spécialité, de favoriser les croisements entre disciplines!
Le premier « Carrefour numérique », intitulé « La 3D en quatre dimensions », présenté le 21 février 2014, 8h30 à 12h30, à la salle 2320-2330 du pavillon Gene-H.-Kruger à l'Université Laval, s’intéressera à la thématique de la 3D en Arts et Design, en Sciences et en Génie, en Géomatique, ainsi qu'en Ethnologie et Muséologie.
Entrée libre!
Réservations possibles à info@itis.ulaval.ca
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Mme Renée Bourassa
Professeure, École de design, Université Laval
Renée Bourassa, PhD, est professeure à l’École de design de l’Université Laval. Spécialiste des médias numériques, elle a œuvré pendant plus de 25 ans en tant que praticienne et signe une trentaine de réalisations dont certaines ont connu une diffusion internationale. Comme théoricienne, ses intérêts de recherche, de nature interdisciplinaire, portent sur le design et la culture numérique (pratiques expérientielles et culture participative), sur la performativité et les effets de présence des personnages virtuels ainsi que sur les fictions issues des médias numériques.
Elle a publié en 2010 un essai intitulé Fictions hypermédiatiques : mondes fictionnels et espaces ludiques. Des arts demémoire au cyberespace. En 2013, elle a co-dirigé deux ouvrages collectifs : Corps performatifs et personnages virtuels : effets de présence; et Avatars, personnages et acteurs virtuels et en 2014, un ouvrage en ligne intitulé Figures de l'immersion.Elle est chercheure affiliée au laboratoire de recherche NT2, au CRIALT ainsi qu’au LAMIC. Elle est également membre du groupe de recherche sur la performativité et les effets de présence (UQAM).
Depuis les années 90, le concept d’immersion marque le discours de plusieurs sphères artistiques, que ce soit celle du cinéma, des jeux vidéo, des dispositifs performatifs de réalité virtuelle ou de réalité mixte ainsi que des installations interactives et sonores, qu’elles soient in situ ou dans l’espace urbain. Ce cahier de recherche ReMix revisite ce concept central pour en proposer quelques figures issues de dispositifs artistiques contemporains, envisagées dans leurs relations à l’expérience et à la connaissance.
Direction du cahier : Renée Bourassa et Bertrand Gervais
Le film d'animation Le coq de St-Victor actuellement sur nos écrans de cinéma est une réalisation du chargé de cours à l'École de design, monsieur Pierre Greco. Monsieur Greco enseigne dans les cours de scénarisation de court métrage et de scénarimage au sein des programmes de baccalauréat en art et science de l'animation (BASA) et au certificat en art et science de l'animation (CASA).
Soulignons aussi la participation de monsieur Vasile-Marius Gindac, également chargé de cours à l'École, qui a travaillé avec l'équipe de Frima Studio lors de la conception des décors de la première bande-annonce du film.
Pierre Greco
Réalisateur
Après avoir complété ses études en cinéma à Concordia en 1984, Pierre Greco a fait de tout : pubs, corpos, documentaires, œuvres de commande. Avec le temps, il s’est consacré principalement à la fiction. Il a réalisé plusieurs courts métrages et un long métrage sorti en 2000. Entretemps, il développe une expertise en dessin animé, et décide de s’y investir davantage. Il enseigne et réalise maintenant des dessins animés. Il a scénarisé et réalisé la série W diffusée à Télétoon et vendue dans plusieurs pays.
Source : Téléfim Canada
Le coq de St-Victor - Synopsis
À St-Victor, le maire s’enorgueillit du dynamisme économique et de la discipline des citoyens de son village. Il attribue l’effervescence de son patelin et donne tout le crédit de cette situation florissante à un seul joueur : son Coq. Son cher Coq qui, tous les jours, qu’ils soient de semaine, de fêtes, de relâche, réveille inlassablement les villageois à grands cris dès 4 heures du matin. Mais certains en auront marre. Et la tête du Coq sera mise à prix. Pourtant, après son départ, un groupuscule formera un escadron pour récupérer la volaille. Le Coq de St-Victor, une ode à l'équilibre remplie d’humour et de situations cocasses!
Articles de presse
L'Université Laval est en voie de recevoir l'accréditation STARS (Sustainability Tracking, Assessment & Rating System™) pour ses performances en matière de développement durable. En vue de cette annonce, prévue en mars prochain, nous souhaitons réaliser une photo-souvenir où la communauté universitaire sera invitée à participer. Il s’agit d’une photo où les personnes sont conviées à former un mot (ex : STARS-UL), et où le photographe prend l’image de haut. Entre 400 et 500 personnes sont visées. Comme STARS reconnaît les efforts et l'investissement de toute la communauté à l'égard des valeurs du développement durable, nous pensons que cette initiative peut avoir une signification. Cette photo serait prise le mardi 11 mars à l’amphithéâtre-gymnase du PEPS, entre 12h00 et 13h00. Une collation sera servie. Merci de venir en grand nombre! » stars.aashe.org
Cet ouvrage est une étude autour de l'identité du cinéma et de ses orientations possibles ouvertes par le numérique. De Marey à Zemeckis, les contributeurs explorent l'histoire et la théorie de la capture du mouvement, dont les diverses applications, au cinéma, dans les arts scéniques ou les jeux vidéo, constituent une manière singulière de modeler le mouvement et de rendre l'invisible esthétique.
L'ouvrage se situe dans le domaine de l'animation de synthèse et comble une lacune de publications francophones dans ce domaine.
Bourassa, R. (2014). « Capture de performance et effet de présence ». Dans La capture de mouvement ou le modelage de l’invisible, dir. J.-B. Massuet et Marc Grosoli, Rennes, Presses de l’université de Rennes.
Qu'est-ce qui t'a décidé à choisir la profession de designer?
Quand j’étais jeune, je dessinais beaucoup, souvent des plans de maison, et j’inventais des choses, des jeux et systèmes variés. J’aimais beaucoup la création mais j’avais un esprit très rationnel et beaucoup d’intérêt et de facilité pour les sciences comme la physique et les mathématiques. C’était pour moi naturel de m’inscrire au cégep en architecture. Cependant, après quelques sessions j’avais un certain malaise avec l’ « échelle » créative du bâtiment. Je me suis donc retournée vers les sciences dans le but de m’inscrire en ingénierie.
Juste avant d’envoyer ma demande d’admission, j’ai appris l’existence d’un programme en design industriel. La profession de designer allait me permettre d’allier mes forces et mes intérêts soit la création et l’expression artistique appliquée à la résolution de problèmes concrets. Je n’ai pas hésité une seconde.
Aujourd'hui, as-tu l'impression que cette profession contribue à améliorer, d'une façon ou d'une autre, la société?
Je crois en effet que la profession de designer contribue à modifier la société et peut aussi l’améliorer à sa façon si elle est pratiquée de façon responsable. Le design de produits influence à plusieurs points de vue la société. Il modifie son système d’objets, contribue à rapprocher la technologie des gens, à trouver des solutions nouvelles à des problèmes et même générer des opportunités d’affaires.
Il est parfois difficile d’avoir le contrôle sur tous les aspects du développement de produits et une connaissance des impacts réels du produit sur la société. Dans cet optique, il est encore plus vrai que le designer doit s’efforcer de pratiquer de façon responsable et intelligente et qu’il a en quelque sorte le devoir d’intégrer autant que possible des principes de développement durables dans sa pratique afin de maximiser les impacts positifs sur les gens, l’environnement et l’économie.
Banc luge
As-tu le sentiment de pouvoir te réaliser pleinement en pratiquant ce métier?
La profession de designer est une profession à multiples facettes. Le contexte entrepreneurial dans lequel j’évolue m’oblige à toucher non seulement au design mais à la gestion de projets, l’administration, le marketing, la fabrication et les technologies et j’adore ça. Depuis que je pratique le design, il n’y a jamais eu une journée pareille, les projets changent, les clients changent, les problèmes à régler sont différents et le résultat final est lui aussi bien distinct. Aussi, de voir un produit sur lequel tu as travaillé être réalisé, fabriqué, prendre vie et voir les gens se l’approprier et répondre adéquatement aux besoins pour lesquels il a été créé, contribue vraiment à ce sentiment de réalisation.
Quels conseils donnerais-tu à un étudiant intéressé par cette profession?
Pour être designer il faut être prêt à appliquer sa créativité à la résolution d’un problème qui n’est souvent pas le sien. Par conséquent, ce n’est plus du designer et de son expression personnelle dont il est question mais des gens qui sont touchés par la problématique. Il est donc primordial d’être empathique aux autres et d’oublier certaines idées préconçues. Il est aussi primordial de développer sa curiosité sur n’importe quel sujet, car la création ou l’amélioration d’un produit n’est pas unidimensionnelle et peut être influencé par exemple par la psychologie de l’usager, le contexte de fabrication, des considérations environnementales et le marché dans lequel il sera inséré. Il faut être ouvert aux défis, à la résolution de problèmes parfois complexes et bien entendu à la critique.
Claudia Després, designer
Actualité du 29 mai 2014 Le baccalauréat en design de produits de l'École de design est officiellement approuvé par le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie (MESRST). Les démarches d'admission et d'inscription sont par conséquent les mêmes que tous les programmes de l'Université Laval. Nous vous invitons à consulter la page du programme sur notre site web et la fiche détaillée de l'Université Laval pour obtenir plus de détails.
Celine Arnaudeau et Ariane Petitclerc sont les deux gagnantes du 24h design 2014. Leur identité a été sélectionnée par les juges lors de la délibération avec le client Le Bureau de Poste situé dans le quartier St-Roch de Québec.
24h design
Qu'est-ce qui vous a décidé à choisir la profession de designer? Plusieurs éléments m’ont guidé vers la profession de designer, mais je crois que c’est la curiosité qui aura ouvert la voie. Ma formation première est en lutherie, c’est lors de ce parcours que j'ai appris le travail du bois. En sortant de l’école des métiers d’arts, j’étais conquis par l’objet sonore, j’ai donc voulu explorer d'autres matériaux et d'autres procédés de mise en forme. Il ne fallut pas beaucoup de temps avant que l'amour de l'objet prenne le dessus. Plus je lisais sur le sujet et plus je comprenais ce qu’était le design de produits (peut-on faire ce changement pour éviter toute confusion) et plus je la trouvais sexy cette profession qui se concentre, au final, à donner des expériences à ses contemporains. Vous êtes à la fois designer et entrepreneur, quelles qualités mènent à jumeler ces deux aspects du métier? Je crois que l’action de designer est celle d’entreprendre quelque chose, que l'on soit chef d'entreprise ou non. Être un designer, c'est cerner une problématique et utiliser sa créativité, ses connaissances et mobiliser des acteurs dans la résolution de cette dernière. Le défi dans cette gymnastique est de ne pas créer de nouveaux problèmes par nos actions. Selon moi, la qualité principale qui permet au designer de s'épanouir à l'intérieur de ce casse-tête, qu’il soit à la tête d’une entreprise où non, est celle de garder une bonne vision globale de la situation. Il est important de bien connaître les pièces de son casse-tête pour rester dans la même analogie. Avez-vous le sentiment de pouvoir vous réaliser pleinement en pratiquant ce métier? Chaque designer a un parcours unique, le mien passe par une association avec un ingénieur. Mon partenaire d’affaires, David Barabé et moi avons fondé DIX au carré, une boîte spécialisée en design et en ingénierie pour l'industrie du divertissement. C’est un des avantages encore méconnus de notre profession; être designer veut aussi dire designer notre métier. Certains vont choisir de modéliser, d’autres de concevoir; certains se passionnent pour l’interface et d’autres pour des productions uniques. Pour ma part, j’ai la chance de m'accomplir en réalisant les idées, plus loufoques les unes que les autres, qui atterrissent sur mon bureau. Je me sens très honoré que des gens nous donnent leur confiance afin que l’on matérialise leurs idées et leurs rêves. Quels conseils donneriez-vous à un étudiant intéressé par cette profession? Passion, patience, collaboration, partage, persévérance, empathie et BONHEUR. Félix Marzell, cofondateur chez DIX au carré , designer industriel, concepteur
Actualité du 29 mai 2014 Le baccalauréat en design de produits de l'École de design est officiellement approuvé par le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie (MESRST). Les démarches d'admission et d'inscription sont par conséquent les mêmes que tous les programmes de l'Université Laval. Nous vous invitons à consulter la page du programme sur notre site web et la fiche détaillée de l'Université Laval pour obtenir plus de détails.
Le Gala du BASA a eu lieu le 21 mai 2014 à l'Impérial de Québec. Le Gala BASA est un événement annuel en arts numériques, créé et organisé par les finissants du baccalauréat en art et science de l’animation de l’Université Laval. Il met en vedette les meilleures œuvres produites au BASA durant la dernière année lors d’une projection agrémentée de remises de prix. Les prix décernés cette soirée là sont : À noter que pour des raisons de confidentialités relatives aux participations aux concours et festivals de film et d'animation internationaux, les projets des étudiants ne pourront vous être présentés dans leur totalité. » Visuels des projets gagnants Catégorie Meilleure conception 2d Mention spéciale : Michael Guimont Gagnant : Dimitri Néron Catégorie Meilleure image de synthèse Mention spéciale : Laurence Parent-Garant Gagnants : Charles Provencher et Pierre-Olivier Poulin Catégorie Meilleure animation graphique Mention spéciale : Le système Solaire par Jean-Sébastien Boies Gagnant : Silence par Jean-Sébastien Boies Catégorie Meilleure court-métrage d'animation 2D Mention spéciale : Voyage par Raphaël Maltais et Charlie Debond-Ricard Gagnants : Empire par Alex Langlois, Martin Paré, Dimitri Néron et Julie Lefaivre Catégorie Meilleure court-métrage d'animation 3D Mention spéciale : Spectrum par Emmanuel Lauzon Gagnants : Circus par Charles Provencher, Pierre-Olivier Poulin, Étienne Leclerc, David Naud, Simon Vézina et Charles Philip Simard » Gala BASA 2014 » Finissants 2014
Le 21 mai 2014, le Conseil d'administration de l'Université Laval a nommé Monsieur Alain Rochon doyen de la Faculté d'aménagement, d'architecture, d'art et de design à compter du 1er juillet 2014 et ce, pour les quatre prochaines années. La Faculté tient à féliciter Monsieur Rochon pour cette nomination! Présentation et plan d'action de Monsieur Rochon
Le programme de design de produits est officiellement approuvé par le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie (MESRST)! Nous sommes très heureux de cette nouvelle qui marque le début d'une belle aventure à l'École de design. Les démarches d'admission et d'inscription sont par conséquent les mêmes que tous les programmes de l'Université Laval. Nous vous invitons à consulter le site Web du programme et de l'Université pour obtenir plus de détails :
Le jury a complété l’examen des propositions reçues dans le cadre du concours Que le véritable Maurice se lève! Les propositions étaient représentatives des grandes disciplines enseignées à l’École des arts visuels et à l’École de design autant que des différents domaines d’expertises plus spécifiques des étudiants. Les propositions ont d’abord été examinées en regard des livrables attendus, de même que exigences spécifiques du programme du concours. Elles ont ensuite été évaluées par les membres du jury réunis à cet effet. 1er prix – Camille Rajotte Sans titre La proposition questionne la forme incomplète de la colonne et joue avec l’angle oblique suggérant l’absence d’une pièce. Un habile jeu de miroirs utilise la lumière et le mouvement de la rue pour rendre le hall d’entrée plus vivant et créer des répétitions de motifs et de couleurs. 2e prix – Camille Bernard-Gravel Rythmiques de vie Rythmiques de vie pose un regard sur le temps, cette invention de l’homme. Des instruments de chimie laissent goutter de l’eau à des intervalles de temps différents, proposant ainsi un rythme temporel qui varie. Un musicalité étonnante se forme, unissant le son du tic-tac des horloges et de l’impact des gouttes d’eau.
3e prix – Olivier Moisan Dufour Sans titre La sculpture en bois, en taille directe, propose de multiples carrés et rectangles répartis de façon irrégulière. Le résultat est une structure chargée de détails, une forme en rondeur construite à partir de plans droits et donnant une impression de force et de solidité.
Geneviève Boutin est récipiendaire de la bourse René Richard 2014 au baccalauréat en design graphique, un prix de 4000$. Toutes nos félicitations!
Caroline Gagnon, professeure et directrice du nouveau baccalauréat en design de produits de l'École de design, est nouvellement collaboratrice de Contact. Dans son blogue, Caroline Gagnon présentera une vision évoluée du design: un design qui s’inscrit dans la culture et dans la vie quotidienne, en plus de comporter une responsabilité sociale et publique puisqu’il vise l’amélioration de la qualité de vie et contribue à la pérennité de l’environnement. Parmi les sujets qu’elle compte y aborder figurent le projet Design and Violence du MOMA, l’importance de l’empathie en design ainsi que les liens entre santé et design. Lire son premier article : Le design, agent de changement social Le blogue de Caroline Gagnon Professeure et directrice du nouveau baccalauréat en design de produits de l'École de design, Caroline Gagnon participe aux Blogues de Contact
Caroline Gagnon Professeure et directrice du baccalauréat en design de produits Caroline Gagnon s’intéresse principalement aux problématiques sociales et publiques en design de produits (design industriel). Au nombre de ses projets, elle a principalement travaillé avec les partenaires suivants : Hydro-Québec TransÉnergie, Hydro-Québec Distribution, Ministère des Transports du Québec, Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition Féminine du Québec et la Ville de Montréal. Elle est spécialiste des méthodes de recherche en design (design ethnographique en particulier) ainsi que de l’analyse des perceptions sociales entourant l’appréciation esthétique des projets d’aménagement et de design et plus spécifiquement des équipements techniques dans l’espace public (méthodes qualitatives et enquête par questionnaire, analyse visuelle). Elle emprunte une perspective de design empathique (centré humain) c’est-à-dire qui pose d’emblée la nécessité de comprendre l’expérience humaine afin d’orienter les projets de design. Ces dernières années, elle a développé un intérêt académique pour le design de service ainsi que pour les récentes perspectives sur la créativité, l’innovation par le « design thinking » et le design stratégique. Elle est membre-fondatrice d’un HUB en design social, membre-associée de HEC-MOSAIC (groupe d’échanges et de recherche en management de la création), chercheure-associée à la Chaire en paysage et environnement de l’Université de Montréal ainsi que membre de l’Association en design urbain (ADUQ) et de l’Association des designers industriels du Québec (ADIQ).
La Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design (FAAAD) de l’Université Laval salue la publication de L’a-maison, Menlo Park et L’Objet, les trois premiers titres de la collection PHOSPHORE des Presses de l’Université Laval. Les premières parutions de la collection PHOSPHORE regroupent des textes de neuf membres des différents corps professoraux en lien avec la FAAAD. En effet, les professeurs Richard Baillargeon, Francine Chaîné, Marcel Jean, Suzanne Leblanc, Marie-Christiane Mathieu, Bernard Paquet et le chargé de cours Jacques Perron représentent l’École des arts visuels. Sans oublier les professeurs Georges Teyssot et Renée Bourassa, respectivement de l’École d’architecture et de l’École de design. La Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design ne peut que se réjouir de l’effervescence intellectuelle qui anime les différentes Écoles qu’elle fédère! La collection PHOSPHORE, mise sur pied par Marie-‐Christiane Mathieu, est dédiée aux écrits d’artistes, aux textes portant sur l’art comme recherche ainsi qu’aux concepts qui déterminent les pratiques et les théories interdisciplinaires en arts visuels. Les ouvrages publiés dans cette collection prennent en compte les enjeux sociaux, économiques et politiques à travers lesquels se crée l’objet d’art. PHOSPHORE se décline en plusieurs volets sous la forme de catalogues, d’essais, et de livres d’artiste. À Québec, le lancement aura lieu le jeudi 11 septembre dès 17 h à La Galerie des arts visuels (Édifice La Fabrique), parallèlement au vernissage de l’exposition d‘Andréanne Jacques et Nathalie Vanderveken. Le lendemain à Montréal, la librairie FORMAT accueillera à son tour un lancement dès 17 h. Lire le communiqué de Phosphore Lire le communiqué de la Galerie des arts visuels
Nouvel article de Caroline Gagnon sur son Blogue Contact.
Le design est présent partout dans notre quotidien et influe sur nos expériences. Ceux qui façonnent et créent les objets de tous les jours savent-ils se mettre à la place des personnes qui les utiliseront et les affectionneront? Autrement dit, savent-ils recourir à l’empathie, ce «6e sens», cette attitude intuitive et instinctive qui nous porte à comprendre l’autre? L’empathie s’exprime par la compréhension des intentions d’autrui et le partage des émotions sans nécessairement les éprouver soi-même, par des comportements de contagion (par exemple, le bâillement) ou encore par un sentiment de sympathie à l’égard d’une personne avec qui on partage les mêmes valeurs. L’empathie est donc l’attitude qui permet de considérer les pensées et les émotions d’une autre personne que soi, de se mettre dans la peau de l’autre... Lire la suite du billet Le blogue de Caroline Gagnon
Caroline Gagnon Professeure et directrice du baccalauréat en design de produits Caroline Gagnon est professeure à la Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design ainsi que directrice du baccalauréat en design de produits. Intéressée par les problématiques sociales et publiques en design de produits, elle est notamment spécialiste de l’analyse des perceptions esthétiques de la population à l’égard des équipements techniques dans l’espace public. Pour elle, il est essentiel de comprendre l’expérience humaine afin d’orienter les projets de design.
"Les designers ne sont pas toujours au service de l’ensemble des utilisateurs potentiels d’un objet. Parfois, leur client leur demande de limiter la clientèle visée ou même de décourager certaines utilisations. Dans un article récent du journal Le Soleil, Laurie Richard exposait quelques exemples de design qu’on pourrait qualifier d’hostile. Elle mentionne les nombreux dispositifs de l’espace public qui sont utilisés pour éloigner certaines catégories de personnes (itinérants, adolescents, etc.) ou pour éviter que des gens s’attardent trop longtemps dans certains lieux: bancs publics sur lesquels on ne peut s’allonger, chaises de cafétéria ancrées au sol, barrières de toute sorte. Ces objets plutôt antipathiques sont issus d’une réflexion de design qui consiste à trouver des moyens, par des matériaux et des formes, de contrôler leur appropriation, de restreindre leur usage et de limiter leur confort." Lire la suite du billet
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Caroline Gagnon Professeure et directrice du baccalauréat en design de produits Caroline Gagnon est professeure à la Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design ainsi que directrice du baccalauréat en design de produits. Intéressée par les problématiques sociales et publiques en design de produits, elle est notamment spécialiste de l’analyse des perceptions esthétiques de la population à l’égard des équipements techniques dans l’espace public. Pour elle, il est essentiel de comprendre l’expérience humaine afin d’orienter les projets de design.
Voir l'affichage du poste : www.rh.ulaval.ca Baccalauréat en design de produits » Détails du programme » Actualités » Lire le blogue Contact de Caroline Gagnon, directrice du programme
(la personne choisie devra assumer la direction de l’École)
Voir l'affichage du poste : www.rh.ulaval.ca
En raison de l'excellence de leur moyenne scolaire à la maîtrise en design multimédia avec essai et projet d'intervention (MDM), Tony Aubé et Chloé-Ève Levasseur se retrouvent au Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales pour l'année 2014.
Institué en 1995-1996, le Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales reconnaît la qualité exceptionnelle du dossier scolaire et l’excellence de résultats des diplômés des cycles supérieurs.
Félicitations à nos deux finissants !
Maîtrise en design multimédia avec essai
et projet d’intervention (MDM)
» Voir les détails du programme
» Déposer une demande d'admission
Autres actualités concernant la MDM :
» MDM | Des étudiants de l’École grands champions de la compétition internationale CHI 2013
» MDM | Nos étudiants gagnants de la compétition mondiale CHI 2012 en design interactif
Le 24 septembre 2014, le Conseil d’administration de l’Université Laval a nommé Madame Suzanne Leblanc vice-doyenne aux études et à la recherche de la Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design. La Faculté tient à féliciter Madame Leblanc pour cette nomination!
Suzanne Leblanc, Ph.D. Professeure titulaire vice-doyenne aux études et à la recherche Édifice du Boulevard, bureau 709 418 656-2131, poste 5961 vice-doyenne@faaad.ulaval.ca Suzanne Leblanc est professeure titulaire à l'École des arts visuels. Elle détient un doctorat en philosophie et un doctorat en arts visuels. Elle a présenté des œuvres vidéo et web au Québec. Elle a publié un roman philosophique et contribué à des ouvrages collectifs en Allemagne, au Canada, aux États-Unis, en France et en Suisse. Elle a mis sur pied une équipe interuniversitaire de recherche-création sur les stratégies artistiques de spatialisation du savoir. Elle enseigne aux trois cycles universitaires et agit comme directrice de la Maîtrise interdisciplinaire en art. Dans le cadre de son poste de vice-doyenne, Madame Leblanc appuiera le Doyen pour la supervision des dossiers d’enseignement et de recherche de la Faculté.
L'École de design tient à souligner le travail d'Éric Kavanagh, professeur agrégé et directeur de la maîtrise en design multimédia avec essai et projet d'intervention (MDM), et de Jacynthe Roberge, chargée d'enseignement en design, à la direction du plus récent numéro d’Interfaces numériques, une revue scientifique internationale spécialisée dans le design numérique. Ce numéro a pour thème l'enseignement supérieur du design interactif. Il regroupe une demi-douzaine de contributions sur le sujet, dont l’article « Enseignement du design numérique au 2e cycle universitaire : former à l’intervention professionnelle », par Isabelle Sperano, Jacynthe Roberge et Éric Kavanagh. Le numéro contient aussi, signé par Jacynthe Roberge, un entretien avec Jörn Messeter et Jonas Fritsch, deux sommités mondiales du design d’interaction et professeurs affiliés à des universités scandinaves.
« L'enseignement supérieur du design interactif, à l’université comme en école spécialisée, présente une multitude de défis qui requièrent compétence et créativité de la part des formateurs et des responsables de cours et de programmes. Loin d’être stabilisée ou même en voie de l’être, la matière centrale à enseigner – le design numérique comme pratique ou comme mode particulier de compréhension du monde (les designerly ways of knowing) – est en ébullition perpétuelle à l’intérieur comme à l’extérieur des murs, et l’univers des possibles pédagogiques, technologiques, méthodologiques et épistémologiques semble en expansion constante.[1] »
"Est-ce que le design se limite à embellir les objets? À enjoliver, à rendre beau, à concevoir du beau? Bien sûr que non, mais il vise en effet à embellir notre quotidien, à créer du beau afin de rendre la vie agréable. On associe toutefois trop souvent le beau à un travail sur l’apparence et le superficiel; en conséquence, on occulte l’expertise réelle du designer. Le beau ne serait pas uniquement la finalité du travail du designer, travail ne devant pas être confondu avec un exercice cosmétique. Le design implique, faut-il encore le souligner, de considérer un ensemble de contraintes et de dimensions (techniques, économiques, sociales, psychologiques, ergonomiques, esthétiques, etc.) afin de concevoir des objets attrayants, utiles et attachants, des objets qu’on aime, qu’on apprécie et qui nous accompagnent dans notre vie et nos expériences." Lire la suite du billet
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Caroline Gagnon Professeure et directrice du baccalauréat en design de produits Caroline Gagnon est professeure à la Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design ainsi que directrice du baccalauréat en design de produits. Intéressée par les problématiques sociales et publiques en design de produits, elle est notamment spécialiste de l’analyse des perceptions esthétiques de la population à l’égard des équipements techniques dans l’espace public. Pour elle, il est essentiel de comprendre l’expérience humaine afin d’orienter les projets de design.
Portail de l’alimentation de proximité dans la Communauté métropolitaine de Québec
Une équipe de chercheurs du Département d'anthropologie et le Groupe interdisciplinaire de recherche sur les banlieues (GIRBa) de l’École d’architecture de l'Université Laval ont lancé en octobre le portail www.mangerlocalquebec.info. Celui-ci est destiné aux habitants de la région métropolitaine de Québec et il permet de repérer facilement les lieux d'approvisionnement où l'on peut se procurer ou produire soi-même des aliments de proximité, sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Québec.
Visiter le www.mangerlocalquebec.info Le site web permet de consulter la carte et de faire une recherche par municipalité ou code postal pour trouver facilement les lieux d'approvisionnement où l'on peut se procurer ou produire soi-même des aliments de proximité.
Groupe interdisciplinaire de recherche sur les banlieues (GIRBa) Le GIRBa (Groupe interdisciplinaire de recherche sur les banlieues) est un groupe de recherche créé en 2001 affilié au Centre de Recherche en Aménagement et Développement(CRAD) de l’Université Laval. Il rassemble des chercheurs issus de disciplines variées telles que l’architecture, l’aménagement, l’urbanisme, la psychologie sociale et la sociologie ainsi que d’autres champs connexes s’intéressant aux problématiques des relations personne-milieu dans les banlieues vieillissantes de la région de Québec. Accéder au site web du GIRBa
Deux étudiants de la Faculté d'aménagement, d'architecture, d'art et de design se méritent la bourse d’études Mathieu 2014-2015.
Félicitations à nos étudiants!
Les étudiants de la Faculté sont éligibles à plus de 200 bourses au Bureau des bourses et de l'aide financière (BBAF)! » Accéder au Répertoire des bourses offertes aux étudiants de la Faculté » Accéder au site web du Bureau des bourses et de l'aide financière (BBAF)
Le film d’animation Le Coq de St-Victor, réalisé et coécrit par Pierre Greco, chargé de cours à l’École de design de l’Université Laval, a été à nouveau honoré en remportant le Prix du public du Festival international du film pour enfants de Montréal (FIFEM). La remise de ce prix a eu lieu lors du Cartoon Connection de Québec. Une bourse de 3000 $, offerte par NBC Universal, a été remise à Nancy Florence Savard, productrice du film pour les Productions 10e Ave. Pierre Greco Après avoir complété ses études en cinéma à Concordia en 1984, Pierre Greco touche à tout : publicité, film corporatif, documentaire et œuvre de commande. Avec le temps, il s’est consacré principalement à la fiction. Il a réalisé plusieurs courts métrages et un long métrage sorti en 2000. Entre-temps, il développe une expertise en dessin animé, et décide de s’y investir davantage. Il a scénarisé et réalisé la série W diffusée à Télétoon et vendue dans plusieurs pays. Monsieur Greco enseigne dans les cours de scénarisation de court métrage et de scénarimage au sein des programmes de baccalauréat en art et science de l’animation (BASA) et au certificat en art et science de l’animation (CASA) à l'École de design. Le Coq de St-Victor, synopsis À St-Victor, le maire s’enorgueillit du dynamisme économique et de la discipline des citoyens de son village. Il attribue l’effervescence de son patelin à son cher coq qui, tous les jours – semaine, fête ou relâche – réveille inlassablement les villageois à grands cris dès 4 heures du matin. Les citoyens ne sont pas tous de l’avis du maire puisque la tête du coq est mise à prix. C’est à regret que le coq se voit dans l’obligation de quitter son village. Après avoir constaté la disparition de leur fidèle réveil-matin, quelques habitants s’unissent afin de récupérer la précieuse volaille. Le Coq de St-Victor est une ode à l’équilibre, remplie d’humour et de situations cocasses!